Un peu alarmiste la conclusion de l’article sur l’étude IFOP sur le marketing social :
Le marketing social reste donc largement une chimère. Mais, malgré tout, il convient de s’intéresser aux réseaux sociaux lorsque l’on est une entreprise : ces outils sont en effet un lieu potentiel de forte nuisance. 6% seulement y ont critiqué au moins une marque. Mais 25% sont près à relayer des appels au boycott.
Une conclusion qui me rappelle un jury de mémoire portant justement sur ce « marketing de la peur ». Je ne dis pas qu’il ne faut pas se méfier, mais en revanche il faut faire attention à la surmédiatisation des soucis potentiels. Cette dernière permet de vendre de la prestation et des services.
Il faut surtout rappeler que le soucis provient toujours dans ces cas là des comportements de l’entreprise et non des médias sociaux. Quand j’ai critiqué The Kooples sur Facebook ou Twitter c’est parce que j’avais été très mal reçu dans une boutique. Idem pour les grandes marques victimes de boycott numérique qui se font attraper sur des comportements non respectueux des ouvriers, des consommateurs, de la nature ou de leur propres engagements.
Pour éviter les critiques sur Facebook comme ailleurs, soyez bon !