Pourquoi j’achèterai l’iPhone 5

iPhone 5

L’iPhone 5 n’est pas encore sorti, ses spécificités ne sont pas encore confirmées et pourtant la décision de l’acheter est déjà prise. Ce n’est pas là une décision de iFanBoy d’Apple mais la logique des choses.

Mon iPhone 3GS est en bout de course : j’ai eu un iPhone 3G que j’ai remplacé au bout d’un an par un iPhone 3GS. Le S de Speed justifiait ce changement car l’iPhone 3G était trop lent. Maintenant mon iPhone 3GS a 3 ans et si la batterie tient encore bien le choc, le téléphone a perdu en vélocité. Il est donc devenu plus lent pour faire fonctionner de manière optimale les applications récentes ou les dernières mises à jour. C’est actuellement le point crucial pour lequel le changement de téléphone est important.

J’aime mon iPhone : je dois le dire, j’adore l’iPhone. Même s’il est plus lent, personne ne m’a jamais entendu dire que j’en avais marre de cet engin. Ce ne fut pas le cas de mes autres téléphones.

Android ne me tente pas : Android est un très bon OS. Je l’ai testé, j’ai testé les engins qui tournent avec et je suis un utilisateur des outils Google. Mais Android ne me tente pas plus que ça et je n’ai plus le temps pour le côté bidouille qu’il permet. Au contraire le côté fermé de l’iPhone ne m’a jamais plus gêné que ça et j’ai juste jailbreaker une fois mon iPhone.

Un environnement global : Deux Macs, un iPad, un iPhone 3GS. Un environnement Apple que j’apprécie mais surtout qui se synchronise. Je parle là d’iCloud ou autre systèmes de synchronisation, mais aussi d’applications qui sont portées à la fois sous OSX et iOS. Exemple : mon gestionnaire de tâches, Omnifocus, est présent sur OSX et iOS. Quelque soit l’outil que j’utilise je retrouve mes données et cela marche tellement bien que j’ai confiance dedans. Et la liste de ces logiciels s’allonge car nombre de développeurs iOS ont lancé les versions OSX.

Une logithèque achetée : c’est le pendant du point précédent mais depuis 4 ans que j’ai un iPhone j’ai accumulé les applications, gratuites ou payantes. Quitter l’iPhone, c’est abandonner cette logithèque. Je l’ai déjà fait avec d’autres systèmes, j’ai eu du Psion du Palm et du Windows Pocket, mais là je veux garder ces outils ou une bonne partie. Je ne veux pas donc pas passer sous Android et en racheter d’autres.

Je m’y suis préparé : en achetant mon iPhone 3GS je savais déjà que je ne prendrais pas l’iPhone 4. Pour m’y forcer j’avais pris un engagement de deux ans qui m’excluait des programmes de renouvellement et donc me l’aurait fait payer plein pot. Quand l’iPhone 4S est sorti je me suis dit que je pouvais encore attendre jusqu’au 5. Nous y voilà…

Maintenant il ne reste plus qu’à attendre pour voir ce qu’aura dans le ventre cet iPhone 5.