Nouvelle édition de mon Journal du Dimanche (18). Une belle semaine encore bien remplie malgré le 1er mai qui ne fut qu’un demi-jour férié.
Lundi : le nombre de visiteurs sur les articles est rarement proportionnel au temps passé dessus. Et c’est très vrai dans le domaine de l’hyperlocal. Sur Cyberbougnat, si j’ai la satisfaction de sortir un document intéressant pour la vie publique clermontoise, c’est une brève faite en quelques minutes sur les radars qui fait le double de visites. Toutefois sur le long terme ce ratio s’inversera.
Mardi : loupé une conférence de presse pour une question d’heure. Je me suis basé sur l’heure inscrite en gros sur le carton, alors que la plus importante était celle écrite en dessous en petit… Note pour plus tard : mieux lire les invitations presse.
Mercredi : je ne pensais pas le voir un jour, mais la page Facebook de Cyberbougnat a dépassé les 80% de taux d’engagement. Mieux ce chiffre se maintient depuis !
Jeudi : j’ai profité de la nuit pour me pencher sur le serveur. J’ai enfin compris pourquoi je ne pouvais pas mettre en ligne des fichiers de plus de 1 méga malgré une limite PHP bien plus haute. Le problème résidait dans un réglage par défaute de Nginx.
Vendredi : Constat rapide en regardant mon Day One : j’ai mis à jour mon journal chaque jour en 2013. Une nouvelle habitude est née. Cela me fait penser que j’avais mis le livre The Power of Habit de Charles Duhigg sur ma liste de livres à lire justement pour comprendre comment en acquérir d’autres.
Samedi : le petit bonbon du samedi c’est les victoires de l’ASM Clermont Auvergne qui s’enchaînent. Ce samedi 9 essais marqués et un festival de jeu. J’ai tout de même commencé à faire quelques test pour transformer un peu ce blog et en faire un terrain de jeu au niveau de quelques techniques.
Dimanche : J’ai passé une partie de ma matinée sur le parcours de La Clermontoise, une course 100% féminine pour lutter contre le cancer. Magnifique ambiance avec plus de 8860 participantes de tous les âges. Comme l’an dernier, c’est l’ambiance et l’énergie incroyable qui s’en dégagent qui me restent en tête maintenant.